Les Histoires des 5 Objets

Je serais le premier conteur. Donnez moi 5 objets, et un théme, et je devrais faire une petite histoire. Je dirais qui sera le prochain conteur et à son tour devra dire qui sera le prochain. Allez venez...

bon ok je teste

Il était une fois une bougie qui avait souvent froid. Même avec la tête allumé elle frissonnait aux pieds. Un jour elle ne supportait plus cette situation. Elle décide donc d'aller voir son meilleur ami le parapluie qui l'a souvent réconforté, protégé de la pluie et qui a les même gout en matière de garçon. Et oui il est homo.
_ Que se passe-t-il ma chérie? demande le parapluie.
_ J'en ais marre, j'ai encore froid, se plaind-elle.
_ Ho ma pauvre chérie. Allé on va essayer de règler ton problème. Viens avec moi.
Le parapluie emmène la bougie dans la cuisine et se positionne devant le four.
_ Va dedans on va essayer de te réchauffer un bon coup avec le four.
La bougie obéhit anxieuse de ce que veut faire son ami le parapluie. Il allume le four thermosta 5.
_ J'ai trop chaud je commence à fondre! panique la bougie.
Le parapluie met le four au thermosta 1 mais le mal est fait. Il fait de toute façon trop chaud. Alors il récupère vite la bougie pour la mettre dans le frigo. Faut bien la refroidir...
_ Mer...ci pa...pa...parapluie m...mais déjà que j...j'ai f...fr...froid en temps normal a...alors l...l...là c...c'est dix f...fois pire.
_ Je crois que j'ai trouvé une solution.
Il mène la bougie dans le salon. Puis la dépause sur un radiateur. La douce chaleur du radiateur lui fait beaucoup de bien et la réchauffe enfin. La température n'a jamais été aussi agréable pour elle. Elle s'y sentait tellement bien qu'elle voulait rester à jamais sur le radiateur. Puis au bout d'un moment elle recommençait à frissonner. Alors elle augmente la chaleur du radiateur en tournant le bouton. Le parapluie content de la voir si aise s'en va faire des courses. Mais la bougie augmentait de plus en plus la chaleur du radiateur. Et ce qui devait arriver arriva. Au revoir bougie et boujour mélasse informe de cire.

La morale de cette histoire c'est qu'il faut pas mettre les bougie sur un radiateur en hiver sinon vous ne pourez pas vous éclairer si vous avez une coupure d'électricité.

"Bon je sais c'est une morale pourit mais c'est la seule que j'ai trouvé. Par ce que j'ai oublié de dire qu'il fallait en mettre une à la fin de l'histoire.

Conteur suivant: Dark-shadow

- clef
- bouteille d'eau
- cendrier
- boite de dvd
- sac de super marché

*thème aventure*"

il était une fois un vieil ivrogne moi, et oui faut bien commencer par quelques chose non. c'était le matin je me levais de bonne heure pour changer et pret a suivre les conseils de mon parrain particulier. Il m'avait conseiller de vider au moin une bouteille d'eau au réveil. pourquoi je n'en es aucune idée peut être pour m'éviter d'être tout de suite bourré comme a chaque fois que je me réveil. après avoir fini ma bouteille d'eau je prit un bon verre de whisky pour ne pas bouleverser toute mes habitude puis je me lançais dans mon aventure de tous les jours en commençant par chercher la clef de chez moi je commençait donc par fouiller la cuisine enfin ce qui ressemblais a une cuisine mais rien puis vint le tour du salon mais malheureusement il n'y avait toujours rien puis je sorti de chez moi et oui les porte n'étaient pas fermer a clef. je renversais la poubelle sur le gazon et me mit a fouiller entre tout les cadavre de bouteilles de whisky, vodka etc... ensuite je rentrais a la maison n'ayant toujours pas découvert la cachette de l'abominable clefs. je pris une boite de dvd mis le dvd en route et jeta la boite contre le mur puis je me jetais sur le canaper une bouteille de whisky dans une main et une de vodka dans l'autre durant tous le film je jonglais entre les diffèrente bouteilles puis l'envie de fumer me monta au cerveaux je prit une cigarette la porta a ma bouche puis délicatement je l'alluma. j'avais la tête qui tourne et beaucoup de chose me passèrent par la tête et je fit tomber deux trois fois ma cendre sur le sol quand je compris ou j'avais laisser mes clefs pour la dernière fois. je me souvient les avoir déposer dans le cendrier après avoir fini ma cigarette de la veille. je mit mes chaussure et parti chez mon voisin oui c'est chez lui que j'avais emmener mon cendrier et mes clefs par la même occasion. je sonnais donc a la porte et aussitot qu'il me vit il me rapporta mon cendrier et mes clefs. Enfin je pouvait allez au super marché, je prit mes quelques sac de super marché, ferma la porte de chez moi a clefs et parti en direction du super marché sur la route il fallait jongler entre les flaque d'eau pour ne pas être tremper de la tête au pied et sur les trottoir esquiver les grande flaque qui borde les trottoir puis je tournais dans le virage suivant me pensant au super marché je commençais a remplir mes sacs de super marché de vieille boite de conserve rouiller puis je prit une bouteille de vodka a moitier vide dans les main d'un sans abris pensant que j'étais dans le bon rayons je ne me rendit compte de ce que je venait de faire que trop tard quand le sans abris lança sont chien a ma poursuite je lançais par la même occasion mes quelques sac de super marché en l'air et je me mit a courrir du mieu que je pu en trébuchant de temps en temps sur des bouteille d'eau qui trainait par ici et par la puis arriver chez moi je fillait comme une flèche en direction du puit qui se situais au beau milieu de mon jardin pour y plonger tête première une fois au fond j'étais a l'abris du chien qui me poursuivait mais au fond du puit il ni avait aucun moyen de remonter a la surface je m'endormis alor espérant qu'un jour ont vienne m'y déloger.

morale de l'histoire ne buvez jamais comme un trou ou vous finirez au fond du trou

Quand viens la fin de l'été, sur la plage....
Et bien déjà, on peut dire que j'ai dût me bourrer la gueule, enfin c'est ce que j'en déduit en voyant une bouteille d'alcool, rouler de gauche à droite sur le parquet, et aussi par mon mal de tête simulant une partie de tennis entre les numéros un et deux mondiaux...
Le parquet bougeait lui aussi de gauche à droite, à bien regarder en fait, cela était un radeau, et non du parquet, à moins que du parquet sa vogue dans la mer...
Après quelques heures, la terre me heurta, ou j'ai heurté la terre, comme vous voulez.
Bien entendu, la dites "terre" n'était autre qu'une île et l'île se transforma vite en îlot.
Sentant une âme de Robinson Crusoé, je démonta mon radeau de fortune, pour me faire une petite cabane, une fois celle-ci finit, je prit mon couteau et ouvrit un coquillage qui se trouvait non loin, il était vide.

Je me promit alors que si je retrouvais la terre ferme, je ne voyagerai plus en low-coast.

Je me réveille la tête dans le brouillard. J'ai froid sans ma couette. Mes pas sont lourds. Le blanc éclatant du sol m'aveugle. Le blanc??? Le brouillard se dissipe instantanément. Je viens de me réveiller au beau milieux d'un désert de sel. Un vent glaciale s'engouffre dans mon pyjama ample. Je me met à courir, ça ne peut-être qu'un cauchemard. LE sel commence à blesser mes pieds et à s'engouffrer dans les éraflures. A chaque pas la douleur s'intensifie. Je n'en pouvais plus de courir alors je m'assied au pied d'un arbre. Je ris seul car l'idée qu'il y ait un arbre dans ce décort désolé me parait saugrenue. Et pourtant c'est le cas. La chaleur est venue pendant que je courais et respirer est devenu du coup insupportable. Je lève les yeux au ciel et apperçois pendu à l'arbre, par le cou, avec une corde, un squelette blanchis à mort (sans mauvais jeu de mot). Ses orbites me fixèrent videment. La vision de ses os pendants me glace d'effroi malgrés la chaleur. Sur le sol on pouvais deviner des légères traces de sang. L'homme a du être évicéré. Je détourne mes yeux de ce spectacle et vois une croix gravée sur le tronc de l'arbre. Il y a écrit dans la croix... Tixon...

La morale est qu'il faut faire gaffe à savoir si on est mort ou pas quand on se réveille au milieux de nul part...

Objets:
Une raquette de ping-pong
Une feuille de papier à grand carreau
Une figurine de batman
Une figurine de spiderman
Une pile alcaline de type AAA

Thème:
L'amour

Conteur(teuse):
Feeryle

Je tiens à repréciser que les objets doivent avoir un rôle important dans l'histoire. Sinon non seulement c'est facile de les citer mais il n'y a plus vraiment d'intéret d'en imposer du coup. ^^

Grosse bise

Il me fallait pédaler sur mon vélo tous les jours pendant une heure afin de regagner ma maison. C’est vers 23h que je rentrais enfin du boulot. A l’intérieur tout était sombre je montais directement dans ma chambre pour me reposer. Une heure après m’être endormi mon ventre commençais a crié famine de plus en plus fort. Je descendis les marches deux a deux pour me diriger vers le frigo. J’en sorti un œuf que j’éclatai dans une poêle bien chaude. Après avoir mangé un peu je regagnai ma chambre afin de me reposer, j’allais m’endormir quand j’entendis un bruit venant du salon. Je fonçai dans la lingerie pour trouver de quoi me défendre au cas où quelqu’un serrait entré dans la maison. Armé d’un fer à repasser je descendais alors dans le salon pour m’assuré qu’il n’y avait personne. Je vit trois a quatre cigarette dans le cendrier poser sur la table basse tandis que mon chat a coter jouait avec l’eau du vase qu’il avait briser. Je pris le cendrier qui a mon grand étonnement était encore chaud. Soudain une ombre surgit juste devant moi. Mon premier réflexe fut de lâcher le cendrier et d’asséner un violent coup de fer a repasser a l’intrus. Je fonçais vers la porte d’entré mais elle était fermer a clef. Je me réfugiai dans la cuisine fit tomber le frigo devant la porte. Ce que j’avais oublié c’est que la porte s’ouvrait de l’extérieur. Il ouvra la porte et enjamba le frigo sans difficulté. Je pris ma poêle encore sale et fracassa la fenêtre puis sorti rejoindre mon vélo. Je vis au loin que la porte de derrière était resté ouverte. Je roulais le plus vite que je pu pour trouver le commissariat le plus proche.

« Quand vous vivez seul n’oublier jamais de bien verrouiller toutes les porte au risque d’avoir de la visite »

ps: j'ai fait a la va vite

J'ai 6 ans depuis un mois, mais je dis déjà que j'ai 6 ans et demi. J'ai perdu ma première dent. Je l'ai mise sous l'oreillé comme m'a dit de faire maman pour que le petite souris me donne une pièce en échange. Cette nuit la petite souris est venu et elle m'a réveillé quand le chat à fait un bazard en essayant de l'attraper.
_ S'il te plait petite protèges moi de ce chat.
Elle avait l'air effrayé. Je la prend contre moi et la protège de la main droite pendant que je chasse le chat de ma chambre de l'autre main. Puis je ferme la porte.
_ Merci petite fille. Pour te récompenser de ta générosité je t'invite à venir dans mon royaume pour cette nuit.
Je la suivi. La petite souris prend un crayon qui était tombé de mon bureau et dessine un trou dans le mur. Sauf que le trou est assez grand pour elle mais pas pour moi.
_ Je ne vais jamais pouvoir passer dans ce trou petite souris. Je suis beaucoup trop grande.
_ Ha oui tu as raison.
Elle cherche dans une petite sacoche qu'elle porte en bandouillère et sort une bague assez grande pour elle, puis me la tend. Je la prend en pensant de nouveau que c'est trop petit mais dans ma main la bague se mit à grandir et à atteindre la bonne taille pour moi. Je la met et je me mit à rétressir avec la bague. Puis je la lui rend à sa demande. Je la suivi du coup dans le trou de souris. On entre dans un décor magic et magnific. Ensoleillé, agréable, chaud et accueillant. Un crane sautille vers nous en sortant d'une maison pas loin.
_ Bonjour Mortimer, lance la petite souris.
_ Bonjour Madame S. Vous nous amenez une visiteuse?
_ Oui, cette jeune fille m'a sauvé et protégé d'un chat.
_ Ho très courageux de votre part mademoiselle.
Nous nous disons au revoir puis la petite souris m'emmène chez elle. Puis on discute pendant un moment.
_ Je suis désolé, dis-je timidement. Mais je ne vais pas pouvoir rester plus longtemps.
La petite souris comprend et approuve. Elle sort un tourne disque de son placard et met un disque dessus. La musique retentit, les couleurs tourbillonne et soudain je me retrouve dans ma chambre avec ma taille normale.

Morale de l'histoire, il ne faut jamais hésiter à aider plus faible que soit car il nous le rendra bien. (sauf si c'est un ingras XD)

Objets:
- un portable
- un chiffon
- une paire de lunette
- un mouchoir en papier
- un set de table

Thème:
L'asphixie (dans n'importe quel sens)

Conteur:
Feeryle